Articles Tagués ‘kaléidoscope’

Bonjour chers Vous tous, chers Vous toutes, chers Vous et puis chers Vous aussi !

En cet après-midi de mercredi pluvieux, tandis que je m’efforçais d’être la plus professionnelle des vendeuses d’art et d’artisanat face à une clientèle… absente (puisque je me trouvai presque noyée sous un déluge annoncé, qui acheva de faire fuir les rares et timides clients de mon coin jurassien), je décidai d’aller faire un tour sur mon petit blog chéri (oui oui, ici) et d’en parcourir quelques pages remonte-moral. (Parce que oui, je me fais parfois rire toute seule lorsque je relis des anciens articles, et ça fait grandiosement du bien).

Et là, DE QUOI EST-CE QUE JE ME RENDS COMPTE ? Il vous manque au moins un tutoriel de la fin d’année 2020 ! Oui, un tutoriel de cane kaléidoscope comme vous les aimez (enfin, surtout comme moi, j’en raffole !) qui existe en version vidéo sur ma chaîne YouTube mais que j’ai omis (honte sur moi) de transcrire ici, dans mon petit monde des lettres, des photos et du bidouillage wordpress.

Qu’il pleuve, donc, je m’en vais ranger mon sens de l’accueil, ma pédagogie artisanale et mon professionnalisme commerçant dans l’arrière-boutique et je sors à la place d’un tiroir magique de ma caboche mon envie de vous raconter des bêtises tout en vous montrant comment réaliser cette cane kaléidoscope :

Pour ce tutoriel, j’avais décidé de dessiner ma cane au préalable, chose qui n’est absolument pas dans mes habitudes… et comme souvent, les choses dont nous n’avons pas l’habitude ne se passent pas exactement comme prévues…

Voici mon dessin préparatoire inspiré par mes heures perdues à zentangler sur du papier :

C’était sensé être le plan de ma clé de montage, vous savez, mon premier triangle qui, dupliqué à 16 reprises, donne mon assemblage kaléidoscopique final.

Oui mais voilà, c’était sans compter mes pensées qui s’échappent emmenant ma concentration avec elles, sans compter non plus mon léger stress dès que je suis de l’autre côté de l’objectif (ben voui… même si je suis toute seule dans mon atelier lorsque je me filme et que je peux faire le montage ensuite comme je l’entends, y a pas… y a pas… je stresse quand même d’imaginer les futurs visionneurs… fou, non ?).

Bref, du coup, j’ai inversé les damiers et le dégradé bleu… Alors dit comme ça, je suis consciente qu’il n’y a pas mort d’omelette, mais en fait, ça m’a tout chamboulé parce que les quantités de pâtes avaient été étudiées (estimées, serait plus exact) en fonction de leur emplacement… et que du coup… j’ai du improviser (muhaha). Donc j’arrête ici et je vous montre le tout en images.

J’ai commencé par réaliser deux dégradés aux deux couleurs dominantes de ma cane.

… plaques dégradées que j’ai roulées sur elles-mêmes pour les transformer en deux jolies canes dégradées :

Puis je me suis attaquée au noir et blanc.

Pour aujourd’hui, je ne vous détaille pas l’intégralité des étapes. (Oh la fainéante ! -NON ! Paresseuse, à la rigueur, quelqu’un de fainéant ne fait rien DU TOUT, c’est explicitement dit dans le terme : fait + néant. -Rô l’autre, hé ! -Quoi ? Ça te défrise d’utiliser les mots correctement ?)

Si vous voulez voir plus précisément comment procéder tout au long de ce pseudo tutoriel, je vous invite à aller visionner la vidéo en fin d’article. Sinon, on continue.

Pour cette plaque, j’explique tout de même vite fait (Ah ben faut savoir, tu n’te contredis pas, toi, déjà ! -Chut !)

Il s’agit de faire une cane cible noire et blanche, puis de l’étirer au maximum, de la couper en tronçons égaux et de les placer les uns à côté des autres. Un coup de rouleau pour souder l’ensemble, et hop, on passe le tout dans la machine à pâte au réglage le plus grand et ça donne ce que j’appelle ma plaque pointillées.

J’ai également préparé une petite cane cible qui viendra contraster la cane dégradée verte. Le but était de déformer la cane noire et blanche pour l’insérer ensuite au cœur de la cane dégradée à la manière d’un pistil de cane pétale.

J’ai ensuite étiré cette cane pétale ainsi que la cane bleue et je les ai coupé ainsi (Oui, c’est exactement à ce moment que j’ai… raté ! J’étais sensée laisser le bleu tranquille et travailler sur le damier ! Sauf, qu’à ce moment-là, je ne m’en suis pas encore rendue compte, chuuuut) :

J’ai ensuite déformé le sommet de mes prismes bleus pour faciliter l’assemblage avec les pétales. Cette astuce vaut pour toutes les canes fleur ; il suffit de pincer un sommet en le passant dans la machine à pâte au cran large (ici 6 sur mon imperia) :

Nous voilà avec tous les éléments nécessaires pour commencer à monter la clé de la cane et c’est maintenant que mon double étourdi va, dans un premier temps, beuguer complètement, puis comprendre, puis se lamenter et enfin, improviser :

Bouh ! Mais qu’es-ce-que c’est que ça ? un tunnel fleuri ? Un petit pont chelou ?
-Non non , juste une erreur de proportions…

Cette déformation est due à la trop grande présence de bleu, là où il était sensé y avoir les PETITS triangles à damiers…

Allez, ben.. on s’adapte :

Ah ben c’est joli tout ça, mais il y a un sacré paquet de trous, du coup… Va falloir combler tout ça si on veut un joli prisme pour débuter notre cane complexe ! Allez, on ramasse tout ce qu’on trouve sur le plan de travail et on rempli et puis on déforme comme on peut.

Disons qu’on a à peu près de quoi modeler un prisme alors on y va.

Entamons la série de réduction – duplication – assemblage – réduction – duplication – assemblage…

Comme on est toujours pas foutue de modeler le bon triangle, on a un p’tit travail de redressement des volumes afin d’obtenir une cane à section carrée, cette fois.

Avant réduction finale.

Voilà, ma cane est terminée, elle est très loin du motif d’inspiration zentangle qui était initialement prévu et a même revêtu un petit côté végétal.

J’ai décidé d’exploiter le motif dans la foulée et je me suis donc mise à trancher (Aïe) et à monter un beau carrelage de polymère :

Et voilà un joli p’tit bol prêt à recevoir vos gourmandises apéritives et les compliments de vos convives !

Si vous voulez voir le déroulé complet du tutoriel ainsi que ma prestation d’un haut niveau d’expressivité théâtrale, suivez le lien YouTube :

Amusez-vous bien et à bientôt !

MC

Et oui, me revoilà !

Tel un commerce non essentiel qui reprend doucement le rythme de sa vie, je m’active en découvrant atterrée à quel point j’en ai perdu l’habitude…

Diantre que j’étais efficace et organisée dans ce fameux monde d’avant (qui ressemble à s’y méprendre au monde d’après sauf que 18 mois sont passés et qu’on a envie de penser que c’était un autre monde) ! Comment diable faisais-je pour avoir une maison en état, des collections remplies dans l’atelier et des marchés qui s’enchaînaient parfois ?!? Par quelle magie faisais-je coïncider des rôles aussi différents que ceux de maman et d’artisan ? Mais bon sang, enfin, quelqu’un va-t-il me dire comment est-ce que je faisais ?!?

(Ben… euh… en fait… peut-être que c’était déjà complètement le bazar… que tu étais toujours dans le speed et régulièrement à la bourre ? Peut-être que la seule différence avec ce fameux monde d’avant c’est que dans celui-ci tu portes un masque quand tu sors de chez toi et que tu as appris à cuisiner les tiges de brocoli ?…)

Bon… hum… passons… quelque chose me dit que j’aurai bien l’occasion de revenir gratter un peu ce sujet dans les semaines à venir.

Bref, notre boutique jurassienne d’artisans créateurs a réouvert ses portes et mon atelier de pâte polymère aussi !

Samedi dernier, tandis que je tenais la permanence de la boutique illuminée par un salutaire soleil, j’ai posé ma valise de polymériste sur le trottoir et je me suis prêtée à ce qui était mon exercice FAVORI durant les jours de marchés (activité nettement moins favorite, celle-là…), l’élevage de canes en plein air (muhaha, désolée, mais moi, ça me fait toujours rire). Et ben ! Dis donc ! C’était pas facile, facile ! Je me suis même emmêlée dans mes coupes et mes assemblages mais je ne vous en dirai pas plus… on va faire comme si tout était parfaitement prévu.

Pour cette saison estivale (-Et oh, on n’est pas encore le 21 juin ! -T’as raison, tient, je sens bien l’ambiance du printemps quand mes sandales collent au bitume !) pour cette saison estivale, donc, disais-je (pas possible, elle ne va pas cesser de m’interrompre, celle-là !-Oh ! je t’entends ! (Ben elle va pas mieux, la p’tite, hein ? ils sont combien, maintenant, dans sa tête ? – Oh ben vous savez, avec tous ces confinements, ça fait débloquer des cerveaux, hein…)) MAIS BON SANG VOUS ALLEZ ME LAISSER PENSER, OUI ? (Brrrr ! Quel caractère !…)

DONC, je reprends, pour les deux du fond : pour cette période de début d’été j’ai décidé de sortir de ma zone de confort en terme de couleur et de m’amuser avec les roses, oranges et jaunes que j’ai souvent du mal à intégrer à mes créations.

Voici donc ce que ça a donné, ce samedi matin, sur ma petite table :

Je ne vous avais pas menti sur les couleurs, hein ?

Bon… la clé de montage était à peu près ce que je voulais… c’est après que ça s’est compliqué et vous savez pourquoi ? Parce que je ne parvenais pas à me décider… à aucune des étapes d’assemblage !

Du coup… je me suis retrouvée avec 3 canes différentes au lieu d’avoir une grande complexe comme j’aime…

Pas grave, évidemment, se tromper ça sert toujours, hésiter c’est important et de toute façon, on arrive toujours à en faire quelque chose, hein que c »est vrai ?

Ben oui mais… mois je ne sais plus utiliser les canes rondes, en fait… c’est pour ça que je montais mes canes d’une autre façon dans l’ancien monde !

Bon ben… pas grave, on triche et tadam :

Allez, pas de frigo alors on tranche vite !

Et maintenant, on travaille proprement :

Après ça, le plus sympa, ce fut de ramener tout ça sans encombre à la maison pour le faire cuire…

En tout cas, ça m’a motivé de FOLIE !!! Du coup, demain, mercredi 16 juin, les artisans de la Vitrine et moi-même, donc, on tient un grand stand pour un marché au centre-ville de Lons le Saunier (OUIIIIIIII ! Vous avez bien lu ! Un marché en extérieur de 17h jusqu’au couvre-feu avec des gens et tout et tout !!! ça fait tellement longtemps que je n’ai pas monté de stand que j’en suis toute exaltée !) et j’ai bien l’intention de réitérer l’exercice !

Avant de vous quitter (oui, je sais déjà mais c’est pour mieux revenir vers vous, promis (pfff tu dis toujours ça… – Oui, mais là, j’ai vraiment du boulot !) je vous montre mon improvisation de chutes qui a motivé ce nouveau choix de couleurs :

Un petit côté agrume dans cette cane centrée, non ?

Allez, prenez soin de vous et pour les jurassiens, peut-être à demain ?

MC

Bonjour chers Vous !

J’ai tout plein de choses à vous raconter mais d’abord, un peu de mise à jour fabuleuse. (?)

Un certain nombre de personnes se sont amusées à brandir les premiers vers de la fable de La Fontaine histoire de s’assurer que c’était bien la faute de quelqu’un (mais pas eux, hein… attention !) si on y retournait.

( » Mais on retourne où ?

– En reconduisement

– Hein?

– Pardon, en reconlourdement

– De quoi ?!

– En refondement

– Damned, j’cromprends rien !

– Désolée, c’est normal… j’arrive pas à l’dire… »).

Alors, rappel :

La Cigale ayant chanté

Tout l’été

Se trouva fort dépourvue

Quand la bise fut venue.

Alors d’abord, euh… chuis désolée, mais on n’a pas vraiment fait le show du siècle, hein, on n’a pas clamé nos envies festives à tout le monde, je trouve que le verbe « chanté » est parfaitement exagéré puisqu’on a tout au plus fredonné, en plus, c’était derrière un masque et pis d’abord c’était pas tout l’été, alors on se détend ! Et alors que dire de « la bise » ?! ça fait des mois qu’elle a cessé d’exister, « la bise » alors elle n’est pas prêt de se pointer ! En tout cas certainement pas cet automne. (Oh là là, c’est du jeu de mot de ouf, là, non?) Nan, le seul terme auquel à la rigueur on peut s’identifier, c’est « dépourvue »… Et là, ben, je n’suis pas vraiment motivée pour m’attarder là-dessus…

Voilà, un p’tit point littéraire en cette période de fermeture des librairies c’est important (pfff). ça nous permet de mieux comprendre la qualité du boulot de tous ces acteurs du mot ! (Ouah, comment elle dénonce… dingue !)

Bref, nous y voilà replongé mais en fait pas vraiment, enfin pas complètement, et pis pas partout et pis pas de la même façon dans toutes les régions et pis et pis et pis et pipistrelle comme conclurait ma fille. (Elle est encore plus dingue qu’avant, non ?)

Je ne vous cache pas que quand ils ont prononcé le mot maudit à la radio, je me suis arrêtée dans ma cuisine, couteau en l’air (pas pour devenir violente, j’allais couper des oignons) et j’ai senti ma colonne vertébrale qui se couvrait de froides sueurs… et puis ils ont enchaîné en expliquant que les écoles restaient ouvertes et mon bras armé est redescendu aussi sec que ma colonne l’est redevenue. Pfff, les ascenseurs émotionnels, c’est quelque chose ! Du coup, quand j’ai pleuré un peu juste après en préparant le repas, je ne savais plus trop à quelle cause le rattacher… Nan, c’est pas vrai, c’était les oignons !!! Parce que qui dit « écoles ouvertes » dit « temps pour m’organiser ». Alors en revanche, les cours hebdomadaires sont évidemment suspendus, les quelques marchés qui restaient se sont annulés les après les autres et je n’ai plus le droit d’intervenir à l’école pour les TAP (Temps d’Activités Périscolaires). Quant aux stages annulés du printemps dernier, j’ai bien fait de ne pas me précipiter à les replacer en automne. En même temps, hein, quelle meilleure saison que le printemps pour voir repousser quelque chose, non ? (ok, je sors)

Bref bref bref, je suis au taquet !

Comme je ne sais pas combien de temps la magie des écoles ouvertes va opérer, je n’ai pas perdu de temps et j’ai bossé toute la semaine à ma première vidéo !

Siiiiiiii ! Je vous assure ! J’ai réalisé… euh, enfin j’ai galéré… enfin disons que j’ai bricolé un truc qui m’a pris un temps fou (ah ben quand on débute et qu’on a, avec l’outil numérique, autant d’aisance qu’une vache dans une mare, c’est long.) C’est donc un truc avec ma voix et des images qui bougent et de la musique (mais pas au début muhaha) bref, c’est 34 minutes (oui, je sais, je n’aurais pas pu me contenter de 8 à 10 minutes pour une première vidéo, hein?) de démonstration de la réalisation d’une cane kaléidoscope.

J’ai cherché ce que j’avais envie de vous montrer et j’avais beaucoup d’idées et puis le kaléidoscope s’est imposé comme une évidence pour une entrée en matière. Donc c’est chouette, ça fait partie de mes signatures mais… c’est un peu long. J’ai donc essayé de parsemer le chemin de mon enregistrement de p’tites bêtises entre parenthèses ou pas, un peu comme ici, l’inconfort de ma voix en plus.

Voici la photo que j’ai partagée en début de semaine sur FB :

Et deux jours après, je présentais l’objet de la vidéo (de loin, hi hi) :

Après ça, il m’a fallut encore des jours de travail, des heures de pas douées, des centaines de « pourquoi ça marche paaaaaaaaaaaaas ?! » des tonnes de « Oh mon Dieu mais c’est ma voix, ça ? Mais chéri, tu m’avais jamais dit que j’avais un accent de ouf !!! -Ah bon ? Ben j’avais pô rmarqué… – ah, oui, forcément. » Tout ça pour y parvenir enfin ce matin… et puis découvrir cet après-midi que je n’étais pas non plus douée pour la mise en ligne via FaceBook…

Alors ce ne sera pas nominé aux prochaines récompenses de montage ou de réalisation mais ça a le mérite d’être vrai, dans le sens où cette vidéo est une réelle photographie de là où j’en suis aujourd’hui (bon bah c’est un peu paradoxale, mais on comprend). J’y ai laissé mes tâtonnements et j’ai pris beaucoup de notes (dans un coin de ma tête, espérons que ce sera toujours fiables quand j’en aurai besoin !) pour un prochain travail.

Je vous mets ici les quelques photos qui jalonnent le tutoriel :

Alors parmi toutes les choses que j’ai apprises, la première que j’appliquerai ce sera de faire des vidéos moins longues, donc de réfléchir à des sujets adéquats.

Bref, j’attends toutes vos remarques, tous vos commentaires, et toute votre indulgence aussi…

Voici le lien :

Allez, en attendant de vous lire à mon tour, je vous laisse.

Prenez soin de vous et à très bientôt !

MC

Un grand bonjour à vous ! 

Aujourd’hui, pas de blabla intempestif ni de digressions frôlant l’indigestion de parenthèses et d’italique, non ! 

Comme l’énonce son titre sans trop de mystère ni aucun jeu de mot, l’article du jour est un tutoriel pas à pas de création d’un collier psyché (ici en noir et blanc mais libre à vous d’adapter deux autres contrastes) qui passe par la réalisation de deux motifs simples mais efficaces. 

Alors sortez votre papier sulfurisé, munissez-vous d’une lame et attachez bien la machine, c’est parti ! 


Matériel requis

Travail de la pâte crue :

Pâte noire et blanche

Machine à pâte

Papier sulfurisé

Lame de découpe

Emporte-pièce rond (diamètre …)

Ampoules usées

Matériel de perçage (une aiguille simple pour la pâte crue, une perceuse manuelle ou électrique avec le forêt adéquat sur la pâte cuite)

Matériel de ponçage (papier de carrossier + eau savonneuse et jean)

Matériel de montage :

Pinces coniques et pince coupante

 8 Anneaux ouverts diamètre (6 pour les perles + 2 pour le fermoir)

Fil de cuir 1 mm

2 pinces serres-lacets

Un fermoir

 

Premier type de perles : Le kaléidoscope du damier

Photos 1 et 2 : Découpez 4 carrés dans une plaque de pâte blanche et 4 carrés dans une plaque de pâte noire de l’épaisseur maximum de la machine à pâte (cran 6 sur mon imperia) et superposez-les. 

Photos 3 et 4 : À l’aide de votre lame, découpez votre bloc en 8 tranches et ré-assemblez-les en inversant une bande sur deux afin de constituer un bloc à damier. (Vos carrés ne sont pas carrés mais rectangulaires et de tailles inégales ? Pas de panique, le but du jeu est de déformer un damier en dupliquant le motif, par conséquent : une irrégularité répétée devient une régularité, c’est d’ailleurs là un intérêt majeur des canes géométriques !) 

Photos 5, 6 et 7 : En vous servant de votre plan de travail et de votre main, modelez ce bloc pour lui donner une section carrée puis posez-le sur une arête et écrasez l’ensemble sur la table afin de le transformer en un bloc triangulaire. 

Photos 8, 9 et 10 : Étirez cette cane à damier et coupez-la en deux tronçons égaux. (Pensez à couper les extrémités déformes de votre cane avant chaque duplication) Assemblez-les comme sur l’image et si besoin, redressez l’ensemble en vous aidant de votre plan de travail afin d’obtenir une cane à section carrée. 

Photos 11 et 12 : Étirez votre cane jusqu’à pouvoir la couper en 4 morceaux, cette fois. Choisissez votre assemblage et soudez les éléments entre eux. 

Photos 13 et 14 : Découpez autant de tranches que vous voulez de perles pour votre projet et lissez-les à l’aide d’un outil de lissage à travers une feuille de papier sulfurisé. (attention à deux choses lors du lissage : pensez à décoller régulièrement le papier de la pâte dessus ET dessous entre deux phases de lissage et veillez à ne JAMAIS ré-appliquer le morceau de papier sali sur votre tranche de cane à lisser, retournez-le puis changez de morceau de papier sulfurisé). Une fois le lissage satisfaisant, découpez vos perles à l’emporte-pièce. 

Photo 15 : Afin de donner un effet bombé à vos perles, cuisez-les sur des supports I-Tech  constitués d’une ampoule (usée, bien sûr, mais est-il seulement nécessaire de la préciser ?!?) tenue sur un bloc de pâte beurk. (très longue durée de vie pour ce genre de supports. NON ça ne casse pas à la cuisson, et pour ma part, mes ampoules me servent déjà depuis 6 ans !) 


Secondes perles : Les spirales simples

Photos 16 et 17 : Utilisez un clay gun en choisissant l’embout d’une douzaine de trous avec de la pâte blanche puis noire. Si vous ne possédez pas un extrudeur de ce type réalisez les fins colombins à la main. 

Photo 18 : Dans une petite plaque noire d’épaisseur max (cran 6), découpez un disque aussi petit que possible. 

Photos 19, 20 et 21 : Saisissez un colombin noir et un colombin blanc et posez-les côte à côte. Avec votre lame, biseautez l’extrémité des colombins afin de faciliter le début de la spirale. Posez les morceaux de pâte comme sur la photo 20 et tournez doucement. Le premier tour est le plus délicat à réaliser. (Astuce : posez un doigt sur le disque central tandis que vous tournez autour avec votre le colombin.) 

Photos 22 et 23 : Une fois la taille voulue atteinte, lissez l’ensemble à travers du papier sulfurisé. (Attention, vous travaillez sur une fine épaisseur, pensez très régulièrement à décoller le papier de la pâte et manipulez avec précaution.) Une fois la surface lisse et décollée du papier, emporte-piècez et cuisez sur le même support à ampoule que les premières perles. 

Vous pouvez en réaliser de plus petites pour les côtés de votre collier et d’autres que vous cuirez à plat afin de réaliser des boucles d’oreilles.

Si vous ne possédez ni perceuse électrique ni perceuse manuelle (Il s’agit d’un mandrin manuel à se procurer pour moins de 10 €), pensez à percer vos perles AVANT de les enfourner. 


TRAVAIL POST-CUISSON

Percez vos perles dans le tiers supérieur de façon à ce qu’elles ne se retournent pas lorsque vous porterez le collier.

Poncez avec application la surface en utilisant du papier de carrossier. (sorte de papier de verre très fin qui s’utilise avec de l’EAU très légèrement savonneuse)

Commencez au grain 400 et appliquez-vous (la qualité de la première étape est primordiale  pour le rendu final). Passez ensuite à deux autres numéros. (ici, j’ai utilisé du 800 et du 1000) 

Pour la finition, l’idéal demeure le touret à polir (touret dont les meules ont été remplacées par des disques de lustrage) mais si vous ne possédez pas un tel matériel il existe deux alternatives. 

La première se trouve dans les accessoires des perceuses électriques classiques. Utilisez le petit disque de feutre pour lustrer (Servez-vous du côté plat ! Et pas de la tranche qui va marquer obligatoirement la surface de vos perles consciencieusement poncées…) 

La seconde se trouve dans votre garde-robe usée : le jean. Il est évident que cette astuce ne permet pas la même brillance qu’une finition au touret mais si vous avez été minutieux et appliqué sur le ponçage au papier de carrossier, alors vous serez surpris par la qualité du rendu final. (Il est toutefois conseillé de multiplier les étapes de ponçage en passant par les grains : 400, 600, 800, 1000 et 1200. Là, vous approcherez réellement du résultat « machine »)

Une fois vos perles percées et poncées, vous pouvez enfin procéder au montage.

Munissez-vous de pinces coniques afin d’ouvrir et fermer correctement vos anneaux. Utilisez une pince plate afin de fermer la pince serre-lacet qui se rabat en portefeuille, emprisonnant les cordons et permettant d’attacher un anneau pour le fermoir et ajoutez ce dernier.

Votre collier est fini, laissez libre court à votre imagination pour le montage des boucles assorties ! 

Avant de vous laisser, laissez-moi vous montrer les canes « sœurs » de celle que vous venez d’apprendre à réaliser.

La première est une simple duplication de la cane de l’article. Après l’avoir de nouveau étire et coupée en 4 tronçons ré-assemblés ensuite, on obtient un motif bien plus psychédélique (qui, personnellement demande de sacrés efforts à mon léger strabisme…) :

Pour la seconde, je me suis contentée d’ajouter une petite cane dégradée dans le cœur supérieur du premier triangle à damier au début de la réalisation de la cane : 

Les variations paraissent alors infinies !

Alors ? à vous ! Et si besoin, laissez vos questions en commentaire. 

Amusez-vous bien, prenez soin de vous et à bientôt ! 

Marie-Charlotte C.

Bonjour – Vous – course – varicelle bis – organisation – rhino ter – déprime – atelier – kaléidoscope – caravelle – multipoche – bisous. 

 

Euh… Peut-être serait-il de bon aloi que je développe un tantinet mon propos ?… Pourtant, tout y est, je vous l’assure. 

DONC… Ben voui, vous l’avez sans doute compris… il semblerait que les éléments (pratique, ce substantif : chacun y voit ce qui lui convient) s’acharnent malicieusement contre le grand déploiement de La Perle Rouge. Et tandis que je mouche des petits nez rougis et que je lave des peaux fragiles (ben oui… j’ai deux enfants qui jouent à se renvoyer la balle des virus, snif), mes beaux projets de prototypes prennent doucement… tout doucement la poussière tels un beau bibelot (ça doit être possible…) qu’on aurait visuellement oublié sur l’étagère du haut. 

M’EN FOUT, d’abord ! J’ai quand même plein de trucs à vous dire. 

Tout d’abord, il convient de réparer une omission de la fin d’année 2018 : l’aperçu du travail réalisé durant les derniers stages à l’atelier. 

Leurs auteurs me pardonneront, j’espère, de ne pas les citer mais entre le temps qui nous éloigne déjà de ces jolies journées et ma parfaite inaptitude à inscrire scrupuleusement un nom à côté de chaque création durant le jour J, je me vois dans l’incapacité de réattribuer ces bijoux à leur créatrice respective. 

Après le projet coquille du mois d’octobre nous avons passé une journée à travailler sur la parure design qui permettait de jouer avec les épaisseurs et les multi-cuissons. Un beau projet qui a très bien été réalisé par les stagiaires : 

Je me souviens d’une seule association pièce/auteur :

L’atelier suivant était celui du bracelet tout polymère avec sa petite cane kaléidoscope. Une première en stage qui a été une parfaite réussite !

Seul bémol : cette journée avait lieu lors du premier samedi de blocage des gilets jaunes, ce qui nous a coûté trois participantes qui, malgré leurs tentatives, ne sont pas parvenues à se rapprocher de mon atelier. Par conséquent ce thème est répété lors de la date du 18 mai. 

En tout cas, pour des débutantes, le rendu est au top, jugez vous-mêmes : 

Lors de ce début d’année 2019, j’ai également passé deux agréables soirées à travailler avec un petit groupe d’assistantes maternelles d’Orgelet. Je vous faisais part, à la toute fin du dernier article des pièces brut sorties du four, je peux à présent vous présenter les pièces achevées après perçage, ponçage et montage. De bien chouettes réalisations pour des parfaites débutantes en polymère : 

De belles couleurs qui plairont aux enfants, à n’en point douter ! 

À présent, une petite énigme. 

Si j’additionne ces clichés, que puis-je obtenir ? 

+

+

+

=

???

Alors ? Non ? vous ne voyez pas ? Si, vous y êtes ? 

Ah ah ah et oui, il s’agit là de notre prototype de panneau multipoche pour la journée de création de dimanche ! (Il reste d’ailleurs des places, si ça vous dit, ce sont vraiment des bons moments !)

Allez, le voici, il est tout neuf, il est tout beau, il tout coloré et il est IMMENSE (oui, on s’est un peu lâché pour notre essai, hi hi)

Durant une soirée, mes deux acolytes et moi nous sommes retrouvées à l’atelier des doigts de Fée afin de réaliser cette première pièce très géométrique. Le figuratif nous titille, à présent et les idées foisonnent. 

Pour l’occasion, notre espiègle de peintre a décidé d’entamer une nouvelle carrière de réalisatrice en nous faisant entrer dans l’ère de la facebook communication… (Bon d’accord, on s’emballe pas, on a juste fait une mini vidéo de 6 minutes de direct et il était déjà tard…) Mais ça laisse place à des idées de challenges filmés pour l’avenir !!! 

En tout cas, le résultat est cool et pratique et on s’est vraiment amusé, ce qui ne gâche rien ! hi hi. 

Si ça vous dit, vous pouvez encore vous joindre à nous ce dimanche à l’espace des Mouillères à Lons le Saunier. Laissez-moi un commentaire et je vous dirai tout ce que vous devez savoir sur ces journées de co-création

Voilà… il est temps, pour moi de m’en retourner vers le thermomètre et le doliprane… Juste le temps de terminer mon article par une (presque) traditionnelle photo de canes : 

 

Oui, je sais… je ne parviens pas à me détacher des damiers… Je n’y peux rien, j’ADORE ça ! 

Allez, Bises à vous et à tout bientôt ! 

MC

Bonjour tout le monde ! 

Mode « lutin de Noël » activé, je répète : mode « lutin de Noël » activé ! 

Cet état d’agitation chronique qui se déclenche de manière annuelle tandis que les jours se rafraîchissent connaît cette année une légère contrainte puisque le lutin de l’édition 2017 ne travaille qu’à quart-temps… Ben oui… Vous non plus vous ne connaissiez pas ce rythme dangereusement anti-productif ? Et bien c’est une contrainte que le lutin de cette année s’est posée afin de pouvoir profiter correctement de ses deux autres petits lutins. Sortir une collection pour les marchés de fin d’année en ne travaillant qu’à quart-temps est un excellent exercice de recherche d’efficacité que je commence progressivement à maîtriser. (oui, mais pour combien de temps ?) 

Vous ne me croyez pas ? Méfiants lecteurs que vous êtes ! Je m’en vais vous faire rougir de honte face à l’étendue de mon travail hebdomadaire ! MUHAHA !! (rire TRÈS diabolique)

Vous en serez contrits lorsque vous aurez achevé de contemplé mon oeuvre ! (Bon d’accord, là, je m’enflamme parce qu’entre nous, il n’y a pas de quoi allumer un cierge mais j’avais vraiment envie de placer le mot « contrit » parce que… ben parce que j’en avais vraiment très envie, voilà.) 

Allez, go ! 

Commençons par l’exploitation de la cane kaléidoscope automnale (c’est plus poétique que de dire bêtement « marron » mais bon… faut reconnaître que c’est juste une cane marron.)

Torque, sautoir et boucles de la même veine : 

 

 

Bon, bah, on ne voit pas beaucoup mieux les perles sur la seconde image mais je ne suis pas parvenue à faire un choix alors vous avez les deux… (et ne dites pas que c’est de la triche pour vous faire croire que j’ai beaucoup travaillé puisque’après tout, il a tout de même deux pièces ! )

(ingrate photo d’intérieur de la fille qui ne s’est toujours pas fabriquée de boîte blanche et qui s’en mord les doigts tandis que le mois de novembre a déjà volé la lumière de son jardin.) 

J’ai eu le coup de cœur pour ces mini estampes noires alors je pense que vous les reverrez vite.  

Nous avons entamé avec le kaléidoscope ; voici une parure simple avec la cane dont le tutoriel a été publié dans le magazine Polymère and Co au printemps : 

 

Après ça s’en est suivie une phase qu’on pourrait qualifier d’errance passagère durant laquelle je me suis obstinée à exploiter les morceaux de couleurs d’une défunte cane en testant des plaques de textures à l’aide de blanc pour 8 résultats décevants ! (Je me suis acharnée telle une débutante découvrant les couleurs et  s’extasiant sur la moindre miette de pâte sur mon plan de travail) Au mieux, on aperçoit parfois un léger halo blanc par-ci par-là… rien de quoi fouetter un chat (Même si je ne me suis jamais tout à fait imaginée en train de mettre en action cette expression…). En tout cas, j’ai insisté sur le ponçage pour avoir des boucles toutes douces et toutes brillantes… choses que vous ne verrez sûrement pas sur mes moches photos d’intérieur… m’enfin…


Quelques ailes de papillons s’étaient malicieusement cachées dans l’atelier depuis l’été de l’année dernière : 

J’ai ensuite achevé le montage des perles creuses que j’avais commencées la semaine passée : 

Sur les deux colliers suivants, je me suis permise une petite citation (une fois n’est pas coutume) avec une perle pliée à la façon de Dan Cormier et d’Olga Ledneva. Elles sont moins régulières que les leurs, bien sûr, mais ce sont des premières et elles m’ont tout de même amusées. 

Et les pitites boucles qui vont avec : (des discrètes pour équilibrer l’ensemble)

Et enfin, pour finir ma lutinesque production de la semaine, voici un petit pot de porcelaine et son couvercle revêtus de leurs nouveaux atours : 

Voilà. Il est temps de trouver un titre à cet article et d’aller me coucher, ravie que je suis de parvenir à publier à l’heure ! 

Faites de beaux rêves (ou retournez bosser ! ) et passez une bonne semaine. 

MC

Bonjour chers Vous tous !!! 

L’entame d’un article après une si longue période de silence demeure pour moi un vrai casse-tête. Après avoir effacé pas moins de huit pathétiques phrases introductives oscillant entre lourdeur, ridicule et tristesse météorologique (« Bien le bonjour en cette humide rentrée ! Un grand salut à Vous tous qui me suivez ! I’m back !!! » et d’autres formules ringardes à souhait, sans parler des tentatives de jeux de mots dont je ne me souviens plus), j’ai finalement opté pour un très épuré « Bonjour chers Vous tous ». C’est un peu soft, j’en conviens, mais l’essentiel est dit. 

Me revoici donc un (tout petit) peu plus active dans mon atelier. 

Entre les tétées, les couches de la choupette et la rentrée du ouistiti (la première, et oui ! Celle avec le petit sanglot dans la voix, la boule au ventre et la larmiche au coin de l’œil… je parle de la maman, bien sûr… le ouistiti s’est contenté de m’envoyer un bisou de la main et de me demander des patates grillées pour le midi… ) j’ai exploité mon efficacité à son plus haut rendement afin de fabriquer des pièces pour aller remplir mes présentoirs de la boutique de créateurs jurassiens dans la jolie cité de Nozeroy

Pas de nouveauté extraordinaire, ni de nouveau concept à tomber, ce sont des choses qui demandent du temps et ça, pour l’instant… je n’en ai pas. En revanche, je suis assez contente du nombre de pièces que j’ai pu terminer en cumulant à chaque fois des demi-heures de travail. 

Avoir un nouvel enfant s’accompagne d’une nouvelle organisation, et cela se ressent jusque dans l’atelier. Lors de ma dernière commande, j’ai fait l’achat d’une perceuse manuelle. Oui, je sais, c’est habituellement le genre d’outil qu’on possède dès le début ou en tout cas bien avant d’investir dans une perceuse électrique mais bon… je ne fais pas toujours les choses dans l’ordre, ça n’est pas une nouveauté. En tout cas, c’est FORT pratique pour percer ses pièces lorsque bébé dort en écharpe. Je peux même le faire en continuant à marcher et à chanter pour calmer les coliques de mademoiselle. Et vous savez ce qui marche du tonnerre pour endormir un nourrisson en écharpe ?… le…. PONÇAGE ! Et oui… si on m’avait dit qu’un jour, je serais contente de passer mes soirées à frotter mes pièces sur un morceau de papier de carrossier debout dans ma cuisine… et bien j’aurais pris un air sceptique (après vérification orthographique, j’ai ajouté le C, sans quoi mon air aurait été nauséabond…) et j’aurais marmonné un simple « peuh » légèrement dédaigneux. Et pourtant… c’est affreusement efficace, cela berce ma choupette encore mieux qu’un transat électrique (jamais vu en vrai, mais ça à l’air terrible dans les séries). Cela étant dit, mes bonnes idées favorisant l’alchimie bébé/fabrication s’arrêtent pour l’instant ici. J’ai testé le travail de la pâte crue avec bébé… (si, si, j’ai testé, je vous assure) et c’est… un peu trop compliqué tout de même… 

Bref, voici rapidement les créations que vous pouvez retrouver dans la boutique de Nozeroy.

De l’asymétrique, des perles creuses, du coloré et surtout des bracelets breloques et des sautoirs qui sont souvent en rupture. (Plus, bien sûr un certain nombre de boucles d’oreilles mais que je n’ai pas eu le temps de photographier.)

Ah oui euh… au fait, les photos avec bébé en écharpe… c’est à oublier aussi.

Voilà. Je me retrouve donc DE NOUVEAU avec 0 pièce en stock et toute une collection à fabriquer avant les marchés de Noël. De quoi m’amuser un peu ! 

J’ai tout de même défini les prochaines dates d’ateliers d’automne dont vous pouvez retrouver les descriptifs ici. Les locaux ont déjà pu les retrouver sur l’article qu’Elsa Hellemans a pu rédiger à la fin du mois d’Août : 

Comme je l’ai signalé sur FB ; vous pouvez admirer la discrète mais néanmoins présente tache de vomi de bébé désormais identifiable sur l’épaule droite de l’intégralité de mes tee-shirts (attendez je vérifie tout de suite… oui, voilà, c’est ça, elle est bien là.) 

Voici la cane que j’ai réalisée durant l’interview : 

Je reprécise rapidement les dates et les thèmes des ateliers : 

Samedi 14 octobre, Kaléidoscope doux pour collier torque (possibilité parure pendentif + boucles à la place)


 

Samedi 21 octobre : Collier perles creuses 


 

Samedi 11 novembre : Bracelet (et oui ! une première ! )

Avant de boucler cet article de reprise, je tenais à vous remercier BEAUCOUP pour tous les messages que vous avez laissés lors de ma dernière publication dans laquelle je vous annonçais la naissance de ma petite Salomé. Je réponds habituellement à chacun des commentaires que vous prenez la peine de laisser ici mais j’avoue avoir été quelques peu débordée et exceptionnellement, je vous laissé sans réponse. Croyez bien que j’ai été très touchée de vos attentions et que je vous en remercie encore tout plein. 

Ah… ça y est, ça chouine là-bas, je vous laisse ici. 

Oh et puis zut, je n’ai pas envie d’attendre demain matin pour poster cet article… Allez, zou ! 

Bises à tous et tâchez de passer une bonne semaine ! 

MC

Bonjour chers Vous ! 

Quel moment plus propice que celui-ci pour vous offrir un petit cadeau  ? (Ben… aucun en fait, tu ne connais pas les dates anniversaires de tout le monde… Ah, c’était rhétorique ?… au temps pour moi.) 

Voici un petit tutoriel assez simple de cane kaléidoscope. (Mouaih… tu dis toujours ça.) Ce motif a été exploité durant la session d’atelier d’automne de l’an passé et il a beaucoup plu, j’ai donc décidé de le partager aujourd’hui avec vous. 

Ce tutoriel avait été, au départ, réalisé par mes soins afin de l’enseigner dans mes ateliers créatifs. Étant donné que j’effectue la démonstration des manipulations lors de ces séances de patouille intensive, seules les photos étaient nécessaires. Je me suis donc attelée à la rédaction des étapes successives pour pouvoir partager avec vous tous un tutoriel complet. Oui mais voilà, au fur et à mesure que j’avançais dans ma rédaction, j’ai réalisé qu’il manquait parfois des clichés. Avant de vous lancer, prenez donc bien le temps de parcourir l’ensemble du travail réalisé ici afin d’avoir une bonne vue d’ensemble de son déroulement. Pour les plus à l’aise, la seule vision des images devrait suffire à vous donner des clés de construction d’une cane kaléidoscope de ce type.

Je n’ai pas trouvé de nom adéquat à ces canes, ( pour l’instant, seuls des évocations de têtes d’aliens et de toiles d’araignées me viennent à l’esprit… mmmh… je vous vends du rêve, là. ) donc si vous avez des suggestions, je suis preneuse !

Allez bonne patouille !

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Matériel requis :

  • Machine à pâte
  • Lame

Pâtes polymères :

  • Blanc
  • Noir
  • Gris foncé
  • Gris clair
  • Violet
  • Vert
  • Turquoise (désolée, pas de quantité précises sur ce tuto, il n’y a plus qu’à bien regarder les images !) 

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Photos 1 et 2 : Préparez 3 dégradés : du vert au blanc, du violet au blanc et du noir au blanc. (Pour savoir comment réaliser un dégradé avec la machine à pâte, rendez-vous ici.)

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ATTENTION ! N’utilisez pas toutes les pâtes, vous aurez encore besoin de blanc, de noir, de vert et de violet par la suite.

Rappel astuce : Pour un joli dégradé du noir au blanc, pensez à intercaler des nuances de gris.

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Photo 3 : Étirez le dégradé noir et blanc dans l’autre sens au réglage le plus fin possible de votre machine à pâte et coupez-le en deux morceaux égaux. 

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Photo 4 : Montez le premier dégradé noir et blanc en accordéon et utilisez le second pour entourer un boudin turquoise en commençant par le noir. 

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Photo 5 : Étirez également les deux autres dégradés et roulez les plaques sur elles-mêmes en plaçant la couleur au centre afin d’obtenir deux canes dégradées simples. (Oui, je sais, j’ai dit les DEUX plaques et il n’ y en a qu’une en photo, mais c’est bien DEUX canes dégradées qu’il faut préparer, la violette et la verte.) 

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Photo 6 : Prenez la cane formée du cœur turquoise et étirez-la en l’aplatissant grossièrement. Coupez les extrémités irrégulières de la cane et tranchez-en 4 tronçons pour les superposer comme sur la photo 7. Faites se rejoindre les tranches extérieures en un sommet commun comme on le fait habituellement pour réaliser le début d’une cane iris (résultat visible sur la photo 8). (Rappel cane iris ici.) 

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Il vous reste encore quelques éléments à préparer. 

Photo 8 : Préparez un colombin blanc cerclé d’une fine plaque noire et étirez-la jusqu’à pouvoir en couper 6 tronçons. (oui, je sais, sur la photo 8, il n’y en a que 5 mais je m’en sers d’un autre par la suite.)

8

Photo 10 : (Oui, parce qu’en plus de ne pas avoir pris assez de photos de mes étapes, j’ai inversé deux numéros.. pfff… je vous jure, la fin d’année c’est pas ce qu’on croit !) Préparez deux plaques avec les couleurs violettes et vertes qui restent à l’épaisseur la plus large de la machine à pâte puis une plus grande plaque double noire et blanche (pour ce faire, collez deux plaques l’une sur l’autre et repassez le tout dans la machine au réglage le plus large.)

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Voilà, cette fois, je crois que j’ai mentionné tout ce qui manquait sur les photos… vous pouvez procéder au montage de votre cane. 

Photo 9 : Commencez par enroulez la cane triangulaire irisée autour de la cane dégradée violette.

 

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Venez couvrir ensuite la cane violette de 5 tronçons noirs et blancs. Placez la plaque verte puis le dégradé noir et blanc et la cane dégradée verte tous les deux grossièrement aplatis. Placez ensuite au-dessus de ces canes dégradées la plaque violette et terminez avec la double plaque noire et blanche. 

Retournez votre assemblage et retrouvez le montage de la photo 11.

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Photo 12 : Resserrez tous les éléments entre eux pour les souder correctement et chasser l’air entre chaque petite cane. Modelez l’ensemble en une cane à section triangulaire en vous aidant de votre plan de travail. En exerçant des pressions régulières sur chacune de ses faces, étirez la cane et coupez en deux tronçons. 

12

METTEZ-EN UN MORCEAU DE CÔTÉ SI VOUS VOULEZ RÉALISER LES DEUX CANES DE CE TUTORIEL.

Photo 13 : Prenez un premier tronçon et recommencez l’opération : étirez la cane et coupez-la en deux. 

13

Photo 14 : Assemblez-les comme sur la photo et ajoutez le dernier morceau de cane noire et blanche sur le sommet de ce nouveau triangle. 

14

Photo 15 : Redressez l’ensemble en pressant les éléments entre eux et en vous aidant toujours de votre plan de travail afin de redresser l’ensemble en une cane à section carrée. 

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Photo 16 : Étirez cette cane carrée jusqu’à pouvoir la couper en 4 et de procéder à l’assemblage final. 

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VARIANTE

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Photo 14 bis : Saisissez-vous du tronçon laissé de côté et étirez-le pour le couper en deux morceaux. 

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Photos 15 bis, 16 bis et 17 : Assemblez-les comme sur la photo et étirez l’ensemble pour obtenir une grande cane comme sur la photo 16 bis afin de pouvoir en couper cette fois 6 morceaux.

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Photos 18 et 19 : Choisissez un assemblage qui vous séduit et soudez tous les éléments entre eux afin d’obtenir une cane ronde.

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Voilà, j’espère, que vous n’aurez pas eu trop de mal à suivre les étapes de ce tutoriel de cane kaléidoscope.

Le manque de clarté de l’enchaînement des images est hélas souvent ce qui se produit lorsque qu’on photographie la marche à suivre de la cane qu’on invente sans anticiper qu’on voudra alors la partager plus tard. J’avais envie de vous offrir un petit tuto pour Noël mais j’avoue ne pas avoir pu prendre le temps de créer quelques choses d’entièrement nouveau. 

Voici quelques de mes réalisations à partir de ces canes : 

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IMG_3626 - Copie

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Et voilà… C’est fini ? …ET BEN NON !!!!

MUHAHA ! 

Allez, pour me faire pardonner d’avance de mon prochain et évident retard de publication, je vous donne de quoi vous occuper avec  ce second tuto !!! 

Cette fois-ci, juste des images, mais vous n’avez plus besoin d’explication, non ? La cane kaléidoscope n’a dorénavant plus de secret pour vous ! 

Petite précision, cette cane a été réalisée au départ dans le but de fabriquer un photophore, elle utilise donc de la pâte translucide mais vous pouvez, bien sûr l’adapter avec de la pâte opaque, comme je l’ai d’ailleurs déjà fait moi-même sur la parure de la dernière photo. 

Bonne patouille ! 

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Remarque importante : ( Oui, je sais, j’avais dit que ce serait un tutoriel muet mais que voulez-vous… c’est plus fort que moi.) Seules les deux couleurs violettes (5 et 6) de la première photo sont des pâtes opaques, toutes les autres sont des pâtes translucides, dont certaines couleurs ont été obtenues par mélange de translucides. Les pâtes FIMO et CERNIT ont été toutes les deux utilisées pour cette cane. La Fimo, pour ses pigments et la Cernit pour sa malléabilité. 

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Remarque : Les pâtes noires et blanches utilisées sur les photos 10 et 11 sont des pâtes opaques. L’opposition est importante pour un rendu final contrasté. 

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Voilà !… Cette fois-ci, c’est vraiment fini. 

J’espère que vous vous amuserez autant que moi et que vous me ferez part des créations qui naîtront de ces tutoriels ! 

Je vous de passer d’EXCELLENTES fêtes de fin d’année et je vous dit à très bientôt ! 

Prenez soin de vous ! 

Bises. 

Marie-Charlotte

Un grand bonjour chers Vous !

Ça y est, le compte à rebours est lancé !

Aucun rapport en vue avec un quelconque lancement dans l’espace ( je plane déjà bien assez haut ! ) ni avec une hypothétique sortie au cinéma ( pfff ! Le cinéma ! un concept devenu complètement flou depus deux ans et demi ! ) et encore moins avec un angoissant changement d’année ! Non, je veux bien sûr parler de l’inévitable course aux cadeaux, aux menus originaux et autres décorations en tout genre qui feront des fêtes de fin d’années ce magnifique moment qui filera aussi vite que le vent d’hiver.

Et oui, le 1er décembre est dans quelques heures ( CAR OUI ! JE PUBLIE TÔT ! Enfin… avec une semaine de retard mais tôt par rapport à l’horaire habituel… enfin vous m’avez comprise, quoi. ) et ce dernier mois de l’année s’ouvre avec la première fenêtre du calendrier de l’avent qui marque le top départ du marathon festif ! ( Enfin, pas pour moi, parce qu’avec ma maman lorraine, petits et grands sont obligés d’attendre la St Nicolas du 6 décembre avant d’avoir le droit d’entamer leur calendrier. Le bon côté des choses c’est que le premier jour, on peut s’enfiler 6 chocolats d’un coup, muhaha ! ) Bref, La Perle Rouge actionne son diesel afin de passer enfin (mieux vaut tard que jamais) en mode « lutin de Noël ». La vitesse de croisière ne sera atteinte que dans quelques jours mais le départ est prometteur. 

Pour commencer et fidèlement à mon habitude, voici tout d’abord quelques commandes de clientes : 

Deux parures bracelets montés sur élastiques et bagues en hidden magic tout polymère (façon La Perle Rouge) en noir, blanc et rouge : 

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Suivi par quelques bagues, toujours tout en polymère : 

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Elles me plaisent beaucoup, et même s’il est difficile pour moi de multiplier les tailles, j’espère avoir un peu de temps pour en fabriquer dans d’autres couleurs avant la fin des marchés de Noël. 

J’ai pris beaucoup de plaisir à réaliser la commande qui vient ensuite.

Les nouveau-nés ont une vision encore approximative de leur tout nouvel univers. La distance, les différents plans, la netteté et les couleurs ne sont pas encore au point. Les yeux d’un tout-petit distinguent leur environnement en noir et blanc ou plutôt en contrastes composés de lumières claires et foncées. Voici donc un mobile spécial tout-petit ! La largeur des disques permet à la pièce d’être contemplée depuis le dessous et les grands motifs géométriques sont en noir et blanc. Mais comme bébé ne verra pas toujours de cette façon, les perles centrales apportent une touche de couleur afin de découvrir en douceur les merveilles de l’arc-en-ciel. Le dessus des disques est entièrement coloré pour apporter gaieté à la chambre. Je l’aime beaucoup ! Qu’est-ce que vous en pensez ? ( Et pour les mauvaises langues, NON le but n’est pas d’hypnotiser bébé avec les motifs noirs et blancs car les pièces ne sont pas sensées tournées sur elles-mêmes comme des toupies folles ! )

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( Oh le beau ponçage ! )

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Viennent ensuite les pièces nouvellement créées pour venir enrichir mon stand.

Je suis, cette semaine, repartie dans mes perles creuses et je vous en présente mes trois nouvelles parures.

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Et pour finir, voici deux petites boîtes en bois ornées de mes motifs kaléidoscopes : 

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(Ah ben c’était une bonne idée ça, que de prendre la photo sous l’angle du raccord noir et blanc ! (Ben c’est malin, ils n’avaient peut-être rien vu ! ) )

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Ah et puis au fait, je me suis enfin gardée une paire de boucles d’oreilles rien que pour moi ! ( Ben oui, avec mon retard de fabrication, cette année, je ne vais pas abuser mais il est tout de même nécessaire que je me fasse un peu de pub de temps en temps ! Je connais des clientes qui ont plus de pièces de La Perle Rouge que moi !!! ) 

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Et voilà… maintenant il ne me reste plus qu’à trouver un titre pas trop cul cul et j’aurai réussi à publier à l’heure cette semaine ! 

N’oubliez pas que la saison des marchés de Noël est entamée et que vous pourrez me retrouver sous ma « cabane » ( selon l’expression de mon petit garçon ) tout le week end au marché de Noël qui se tient dans la magnifique abbaye de Baume-les-Messieurs (samedi de 10h00 à 22h00 !!! et dimanche de10h00 à 20h00). 

Alors peut-être à très bientôt ! 

Bonne semaine à vous ! 

Bises

MC

Bonjour chers Vous tous ! 

Hé oui, les publications toutes les deux semaines seulement, ça va bien un moment mais je n’ai pas envie que vous pensiez que La Perle Rouge ne travaille plus !

Il est vrai que ma productivité a connu des périodes plus prolifiques et il est également exact que s’il y a bien un moment durant l’année où je dois être efficace, c’est MAINTENANT ! Et pourtant… croyez-le ou non, j’ai, en ce moment l’énergie d’un gros chat paresseux ( Ah parce qu’il en existe d’autres types ? ! ? ) et lorsque je me traîne en dehors de mon lit (« poussée hors du lit par un chaton d’un peu plus de deux ans qui réclame ses tartines matinales en scandant sur ma couette » serait plus exact ) j’éprouve un mal fou à me concentrer.

Pourtant je vous assure que je cherche à convertir le froid extérieur en un vent revigorant, à transformer ces précipitations en un arrosage des idées laissées en germe, bref, à traduire tout ce qui m’ennuie en moteur créatif. Et ben… des jours ça paie… et des jours, moins. En tout cas, je ne me laisse pas abattre, soyez-en sûre ! J’ai même acheté une cargaison de chocolat ! ( quel rapport ? ) il parait que c’est anti-dépressif, ça re-boostera donc l’originalité de la création et ça m’apportera les sucres rapides nécessaires au ponçage… et puis surtout… c’est bon ! ( Ben ça suffisait comme argument ! ) Et comme le premier marché de Noël de La Perle Rouge se tient ce dimanche-ci ( Salle commune de la Marjorie à Lons le Saunier de 11h à 18h ), je déclare officiellement OUVERTE la période de gavage de chocolat qui ne prendra fin qu’à la fin du mois de janvier lorsqu’on se parvenu à achever les résidus des fêtes !!! (enfin… si je n’ai pas fait une crise de foie avant, du coup…) 

( Ah oui, et au fait, désolée si vous avez cru que le titre de l’article faisait référence à quelque chose de grave… )

Allez, voici à présent ce qui a été réalisé durant les journées chocolatées : 

Pour commencer, voici une commande qui m’avait été faite d’un collier plastron articulé pour aller avec les petites boucles d’oreilles rouge, orange et vert : 

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Vient ensuite un collier asymétrique un peu différent de ceux que je fais d’habitude puisque j’ai essayé de changer un peu de mes formes habituelles. Je ne suis pas totalement convaincue par les deux perles désaxées qui reprennent le motif central en plus petit. Vous me direz ce que vous en pensez. 

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Les boucles sont montées sur des clous en argent : 

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J’ai d’ailleurs fait les boucles pour aller avec le collier de la semaine dernière : 

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Collier dont je vous remets ici une photo un chouïa moins moche et AVEC le fermoir : 

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Ensuite, comme chaque année à cette période, j’ai commencé à refaire quelques suspensions en essayant au maximum d’utiliser les canes de démonstrations réalisées sur mon stand durant l’été avant qu’elles ne sèchent. Ces fois-ci, j’ai opté pour des montages fixes en triangles et j’ai choisi des perles estampes pour aérer et alléger encore un peu plus les compositions. 

Voici le premier en orange et violet : 

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Toujours très facile de photographier ce genre de pièces… 

Et voici le second en rouge et turquoise avec les petites canes iris : 

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Enfin, voici quelques boucles montées sur argent puisqu’il s’agit aussi de pièces de la nouvelle gamme : 

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J’adore cette nouvelle forme de boucles et j’avais soigneusement préparé toute une série de triangles, seulement arrivée à ma table de montage, j’ai réalisé que je n’avais plus de ces grands anneaux puisqu’ils faisaient partie d’apprêts que j’avais pris en petit nombre afin de les tester… je n’ai plus qu’à refaire une ultime commande avant les fêtes… 

Voilà, qu’avez-vous préféré dans cette hétéroclite série ? Comment ? l’histoire du chocolat ? Ah ben je vous reconnais bien là ! 

Allez, passez un bon week end et prenez soin de vous. 

De mon côté, je fais mon possible pour créer à fond (crunch crunch…)

Bises à Vous ! 

MC